Elle a pour objectif de considérer la peur d’arrêter et toutes les phobies liées à la dernière cigarette. Elle prend donc en compte et intervient sur le facteur psychologique de la dépendance et la déprogrammation du geste.
Elle n’a aucune contre-indication puisqu’elle ne prescrit aucun traitement de substitution à la nicotine. Elle s’attache à révéler les raisons de la dépendance à la cigarette et le plaisir, la relaxation, l’effet antistress qu’elle procure à celui qui la fume. Le concept intervient sur le dilemme entre l’envie d’arrêter et le besoin de continuer, par réflexe et détente.
Ce qui va apaiser les questionnements du fumeur quant à ses ressentis sur la difficulté de son organisme à stopper le tabac. Une écoute psychologique qui permet de comprendre ce qui a mené à fumer, les circonstances dans lesquelles l’on fume, ce que cela apporte, pourquoi est-ce devenu machinal, etc. Les critères de volonté, la peur de ne pas y arriver, sont désacralisés par un premier dialogue en séance de 4h, avec un intervenant lui-même ancien fumeur.
Mais elle se poursuit dans le temps par un suivi en ligne, des conseils, des échanges, des documents, des vidéos, qui confortent le fumeur dans sa décision, d’une manière assez fluide. Une assistance téléphonique est assurée pendant 12 mois pour éviter défaillances et tentations. La méthode Allen Carr affiche 60 % de résultats pour un tarif de moins de 300 euros.
Pratique grâce à son accessibilité sur le Web, la méthode Allen Carr est une assistance précieuse pour ceux qui désirent souhaiter le tabac.