Cette vapeur est aromatisée et contient ou non de la nicotine. Car l’e-cigarette peut devenir un substitut à la cigarette manufacturée, dès lors que l’on essaie d’arrêter le tabac. Le principe de l’e-cigarette était connu depuis les années 60 mais les avancées de la technologie chinoise ont pu le rendre efficace qu’à partir de 2005.
Les e-cigarettes sont donc des aérosols capables de reproduire la fumée de la cigarette. Le geste qui les mène à la bouche et l’aspiration sont identiques à celui des fumeurs de « vraies » cigarettes ». Elles sont pour la plupart fabriqués en Chine, où la population consomme énormément de tabac, à des fins de sevrages. Diffusées dans le monde entier, l’e-cigarette a aussi trouvé un marché porteur en Occident, où les ravages du tabac font l’objet d’une prévention constante de la part des autorités de santé.
Elle est composée d’une batterie, d’un atomiseur, d’un réservoir contenant le liquide à la saveur choisie, d’un embout buccal. Les liquides à vapoter contiennent du propylène glycol combiné ou pas à de l’éthanol, des arômes, et/ou de la nicotine, à doser en fonction de son degré de dépendance. Les contre-indications de l’e-cigarette sont peu connues compte tenu du manque de recul sur son utilisation.
Ce qui est sur c’est qu’elle doit constituer un substitut et non pas une habitude à elle toute seule. L’e-cigarette est un procédé de son temps qui bénéficie donc d’une image marketing assez positive, ce qui alimente de nombreuses controverses de la part des farouches opposants au tabac et aux ravages de la nicotine. Son usage dans les lieux publics est autorisé, mais elle est interdite dans les espaces de travail, les transports en commun.
Son utilité dans l’arrêt du tabac reste assez floue, car elle entretient des réflexes communs à la cigarette. Mais elle allège tous les effets néfastes se rapportant au tabac et à la nicotine.